পাতা:রাজা প্রতাপাদিত্যচরিত্র.djvu/৪১২

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[ 8>२ ] nes, qu’ils dirent ne pouvoir lus traicter auec moy. Les gens de ce pais sont si hebetez, que quoy qu’ils se voyoient conuaincus, & aduouent que nostre loy est vraye & bonne, si est-ce qu’ils ne veulit point quitter la leur. Au mois d’ Octobre le P. Dominique Sosa m'escriuit qu’il estoit necessaire, que j’allasse a Chandecan, pour boncler du tout nos affaires auec le Raju : d’autant qu’il y auoit quelque danger de Changement. Ce que ie fis, & comme le Raja scent, que i’estois arriue, il m’enuoya bien-veigner par vn Brachmane des Principaux quil eut, me faisant dire, qu’il estoit fort joyeux de ce que j’estois arriue, & desiroit extremement me voir Le lendemain ie le fus visiter avec le pere, & il me fit beaucoup de caresses, parlat auec nous, mesmes des chosesqui concernoient son salut. Au retur de Chandecan nous endurasmes beaucoup, & encourusmes de grands dangers des larrons ; desquels bien que nostre seigneur nous deliura, ie restay neantmoins si harasse, que ie fus plusieurs jours sans pouuoir dormir. Arriue que ie fus a Siripur, ie trouuay vne lettre du p. Melchior de Fonseca, ou il m'advisoit comme il estoit arriue a Dianga auec le p. Iean Andre Boues. La dessus ie tombay malade sigriefuement, que ie fus quasiabandonne, sans aucune esperance, de vie. La dessus ie tombay malade sigriefuement, que ie fus quasi abandonne sans aucune esperance de vie. Le peres aduertis decela, vindret tout aussi tost me trouuer, dont ie ruceous Vne telle cosolation, qu’iauec leur veue ie recouuray la saute, & m’en retournay مههضسدسسس.