পাতা:রাজা প্রতাপাদিত্যচরিত্র.djvu/৪৩৮

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( '89y ) autres en si grande desstresse : & ne ponuans lesseconrir quant au corps, ils faisoient tout ce qui leur estoit possible pouy le salut de leurs ames, onyat de confesslon tant ceux, qui estoient en prison que les autres qui ne l’estoient pas. Et par ceque les Gentils voyant les peres parlar en secret aux Portugais, lors qu’ils se confessoient, prenoient cela en manuaise part, & croyoient que les Peres leur conseillassant de ne payer pas au Roy certaine somme d'argent qu’il leur demandoit, ils leur firent beaucoup d'affronts, & les rudoyerent fort de paroles : voire ils allerent a leur logis, & renuerserent toui ce qu’il y anoit sans dessus dessoubs, ne ponuans se persuader qu’ils n'y tronuerent ny l’vn l’ autre. Nonobstant cela le Roy leur enuoya dire par plusievrs fois, qu,ils sortissent tons de ses terres, & qu’il ne vouloit point qu,il y eust des peres desormais. Caey dnra l’espace d’vn mois entire, jusqu’a ce pue les prisonniers payerent leur rancon, qui fut de trois mil pardaos. Les Peres de la Compagnie voyant toutes les Englises, & les croix par terre, & que le Roy ne vouloit point permettre, qu’ils demeurassent la d’avantage, deliberent de s’em relourner en l' lnde Mais la dessus arriva vn mandement de leut Provincial, par lequel il ordonoit, que deux d’iceux s'en allassent an Royaume de pegu, & que les autres deux s’en , revinssent a Cochin ; puis qu’en Bengala les affaires du Chrestianisme estoient si deplorz, & en si pauvre es. tat. Ce qui fut execute, comme nous dirons an ಯಣ್ಣ, * tre Swynant. | R