পাতা:রাজা প্রতাপাদিত্যচরিত্র.djvu/৪১০

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so • ] ainsi qu’a este di au. 2. liure la ou a este raconte ce que les deux premiers Peres y firent au commencement. Il faut donc a cest heure voir le surplus. Ce qui ne peut estre mieux scen que par deux lettres, qu’en escriuirent les mesmes Peres: lesquelles il sera bon a ceste cause d'inserer en ce lieu. La premiere donc est du P. Francois Fernandez, escrite pe Dianga audit Pere Visiteur du 22 Decembre 1599, en ces termes. L’an passe au depart des nauires, nous demeurasmes a Dianga, qui est vne ville sise en ce port de Chatigan, on les nefs, qui viennent de l’Inde, nouillent l’anchre: & nous nous y arrestasmes plus long temps pour ouyr les confessions tant de ceux du pais, que des Portugais, qui estoient en grand nombre : & en y auoit qui estoient restez a se confesser dez l’an passe Plusieurs restitutions furent faictes, beaucoup de personnes osterit de leurs maisons les occasios d'offencer Dieu q’uils y tenoiet auec vn grad scândale. D’autres se marierent, qui viuoient en mauuais estat depuis long temps. Et parce que j’auois promis aux habitans de Siripur d'aller la prescher le caresme, il fallut laisser icy le P. Dominique de Sosa, pour acheuer d’entendre les confessions de beaucoup de gens, qui estoiet sur le point de partir vers le Pegu. Ie preschois a Siripur les Dimanches & Vendredis : ou Faisoit des processions de penitens, qui se disciplinoient : deuat lesqeels marchoient les petits enfans avec des robbes blanches. Ce qui causa beaucoup d'admiration & devotion a plusieurs, pour estre chose nouuelle. I’entendis la con